Le projet « Paul Claudel-d’Hulst bâtisseur » me tient particulièrement à cœur parce que je connais toujours cette même félicité au moment où je pose un pied sur un pavé de la cour du petit hôtel de Villars. Les peintures, les boiseries et les dorures réclament elles-mêmes des soins. La nécessité de réhabiliter le site pour accueillir un plus grand nombre d’élèves impose des travaux de grande envergure. La visée pédagogique qui allie les humanités et le numérique demande un investissement certain. Cette rénovation donne sens à l’avenir de l’établissement dont le destin est de transmettre en héritant.