Du 19 au 25 avril, pour la première fois, les élèves de russe LV3 ont pu découvrir les beautés de Saint-Pétersbourg, capitale du nord, ville rêvée et bâtie par Pierre le Grand. Ce fut une semaine riche en expériences et découvertes, avec le groupe ou en famille, avec leurs correspondants. Nous avons été accueillis par les professeurs et élèves de l’école 171, en plein centre de Saint-Pétersbourg, à deux pas de la perspective Nevsky.

Evguénia Nigametzianova, professeure de russe

Voici des témoignages d’élèves :

Flavia VAZIRI- FAHARANI (26)

Dès notre arrivée, j’ai remarqué que Saint-Pétersbourg est très différent de  Paris. Le centre est très beau, très coloré, très spacieux mais plus on s’en éloigne plus les paysages changent. Aux extrémités de la ville, certains immeubles ont un aspect délabré. Les transports sont agréables mais j’ai préféré le métro mis à part le fait qu’il est propre, les escalators descendent jusqu’au centre de la Terre.

La ville est très grande, une seule semaine n’est pas assez pour tout visiter (il y a environ 3000 monuments) et la visite en car permet d’avoir une vue d’ensemble sur la beauté de la ville et la richesse de l’histoire de Saint-Pétersbourg.

Au restaurant, j’ai goûté des plats et des boissons typiques. En famille, j’ai mangé la pomme de terre sous toutes ses formes. Quoi qu’il en soit, la nourriture est très bonne. Les russes sont très accueillants, mais parfois les quantités sont légèrement exagérées !

Tima de ZAYAS ENRIQUEZ et Elisabeth KADAR (25)

Une semaine agréable, rythmée d’incessantes visites et promenades : musée Fabergé, château de la reine Catherine, la cathédrale Saint Isaac, le musée de l’Ermitage, la célèbre perspective Nevsky, le fort Pierre et Paul, l’église de Saint Sauveur sur le sang versé, un tour en bateau –mouche sur la Néva et de nombreux canaux. Pour certains, ce séjour a été agrémenté de découvertes musicales des plus intéressantes, comme La Traviata de Verdi ou Le Lac des cygnes de Tchaïkovski à l’opéra de Mariinsky.

Et tout cela dans la bonne humeur et les rires évidemment ! Et, fait non négligeable, nous avons découvert une culture culinaire très variée, de sorte que, une fois dans l’avion de retour, seules trois pensées investissaient notre esprit : le regret de laisser derrière nous une si belle architecture et des plats si goûtus, le regret d’abandonner des familles si sympathiques et soucieuses de notre bien-être, mais surtout : REVENIR !