« La pièce est l’histoire d’une femme, Calogera, et de son mari participant à un spectacle, celui d’un illusionniste ; or le mari éprouve moins de sentiment pour elle mais davantage pour sa maîtresse. Alors l’illusionniste, le mari, sa maîtresse et des complices organisent un piège pour l’épouse : on lui fait croire que son mari, enfermé dans une boîte magique, a disparu comme par magie. Cette disparition la fait tomber dans une spirale psychologique, alors que celui-ci s’est enfui à Venise avec sa maîtresse. On fait ensuite croire à l’épouse délaissée que son mari est enfermé dans une boîte, mais qu’il disparaître si elle l’ouvre sans avoir confiance en son amour : résistera-t-elle à la curiosité et au rêve de son amour ? « Tout n’est qu’illusion », dirait le professeur Marvuglia !
Tout d’abord j’ai trouvé que cette pièce était courte et bien orchestrée. Les comédiens jouaient de manière rythmée et on se perdait facilement dans le jeu ; et encore plus de celui de la femme, divisée par un choix, un ultimatum. De plus, sur scène les surprises étaient nombreuses et le metteur en scène a permis au spectateur de sortir temporairement du tourment qui subissait la mariée qui paraissait inextricable. Je trouve que cette pièce illustre bien le déni de la rupture amoureuse et l’exagère par le biais de la détérioration de la santé mentale jusqu’à la folie.
Pour conclure j’ai sincèrement aimé cette pièce de théâtre.
J’ai beaucoup aimé également la pièce de théâtre La Grande Magie car je l’ai trouvé vraiment intéressante et aussi facile à comprendre et à suivre. Certains moments étaient comiques et parfois surprenants. De plus, les acteurs très professionnels jouaient parfaitement leur rôle.
Encore merci de nous y avoir emmenés ; bonne soirée ! »
C’était La Grande Magie d’Eduardo de Filippo, créé par Emmanuel Demarcy-Mota, au théâtre de la Ville – Abbesses, le mercredi 3 avril
Samuel D. et Eloi M. pour les 2e2, accompagnés de monsieur Chifflet leur professeur de Lettres